L’ex-Premier ministre n’a été investie sur aucune liste pour les élections locales de janvier 2022.
La raison ? «Rien n’est imposé en politique, c’est une adhésion libre d’individus libres. Ma non-participation est donc libre», se justifie-t-elle dans un entretien avec L’Observateur.
L’ancienne présidente du Conseil économique, social et environnemental (CESE) estime qu’il n’y aura jamais assez de postes de maires pour tout le monde.
«Il n’y a que 600 collectivités locales et des milliers d’aspirants. Il faut raison garder», explique-elle.