Dr Abdou Rahman Diouf propose une réforme du code pénal afin de mieux protéger les droits des accusés. Il souligne que la présomption d’innocence doit être pleinement respectée.
« Le traitement réservé aux accusés bénéficiant de la présomption d’innocence est excessif. Il est nécessaire de réviser le code pénal de manière à ce qu’un accusé ne soit pas emprisonné tant que des preuves tangibles ne sont pas présentées », a-t-il déclaré lors de l’émission Matin Bonheur.
Le ministre de l’Enseignement Supérieur estime que ce genre de situation alimente la perception d’une justice politisée.