La signature du protocole de coopération entre les deux fédérations s’est déroulée en présence notamment de Laurence Fischer (ambassadrice pour le sport), de Diagna Ndiaye (membre du CIO et président de Comité National Olympique et Sportif Sénégalais) et d’Ibrahima Wade, (Coordonnateur du Comité d’Organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse de Dakar 2026 – COJOJ 2026).
Ce protocole, qui court jusqu’au 31 décembre 2026, repose sur un échange d’expertises dans les secteurs de la formation aux métiers du tennis et de l’événementiel. Il a pour but le développement du tennis comme levier d’accès à l’éducation, à la parité, à la santé.
« Ce jour marque le début d’une belle histoire, de moments d’échanges et de partage. Nous nous réjouissons d’accompagner le Sénégal dans la mesure de nos possibilités, et d’aboutir ensemble à des réalisations concrètes. », a assuré Gilles Moretton, président de la FFT.
De son côté Issa Mboup, président de la Fédération Sénégalaise de Tennis s’est réjoui des perspectives de ce partenariat : « C’est un grand moment pour nous. Ce rapprochement va permettre le développement du tennis, mais pas seulement. Il est vecteur d’inclusion pour tous les Sénégalais, à travers la formation, le tennis à l’école, l’urban tennis. »
Une collaboration à effet immédiat
Dès 2022, la FFT mettra à disposition de la FST l’ensemble des contenus de formation du LIFT (l’institut de formation du tennis de la FFT) ; elle partagera également son savoir-faire en matière de sélection et d’entretien de la terre battue pour l’académie de Diamniadio, qui accueillera les épreuves de tennis des JOJ 2026. Elle formera aussi des arbitres et des ramasseurs de balles sénégalais et apportera son appui à la structuration d’une filière de haut niveau.
La FFT a également profité de l’édition 2022 de Roland-Garros pour accueillir une mission d’observation du COJOJ 2026 et de la FST et partager son expérience au sein du tournoi.